MARIÉES À LA ROYAUTÉ
Le livre To Marry an English Lord (Épouser un lord anglais) parle du phénomène ayant amené de riches héritières américaines du xixe siècle à se chercher un mari appartenant à l’aristocratie britannique. Même si elles étaient déjà fortunées, elles aspiraient à faire partie de la royauté. Le livre commence par le prince Albert, fils de la reine Victoria, qui est allé rendre visite à quelqu’un aux États-Unis. Durant son séjour là-bas, un grand nombre de riches héritières se sont présentées à un bal organisé en son honneur dans l’espoir de devenir sa fiancée royale.
VOIR DIEU DANS LES ENDROITS BIEN CONNUS
En raison de l’endroit où je vis, je jouis de la vue spectaculaire de la gloire magnifique et créative de Dieu. Dernièrement, en conduisant dans les bois, la beauté du feuillage d’automne, d’un rouge riche et aux nuances variées de jaune, m’a frappé. Tout cet arrangement artistique contre un ciel azuré m’a ébloui.
UNE VIE ÉCLATANTE
Selon la Fédération internationale de basketball, ce sport est le deuxième le plus populaire au monde. On estime à 450 millions le nombre de ses adeptes sur toute la terre. Aux États-Unis, le tournoi annuel de la NCAA, qui se tient en mars, souligne souvent l’apport de l’entraîneur légendaire John Wooden. Au cours des 27 années où il a travaillé pour l’UCLA, ses équipes ont fracassé tous les records en remportant dix championnats nationaux. Aujourd’hui, on se souvient de John Wooden, qui est mort en 2010, non pas uniquement pour ses réalisations, mais également pour la personne qu’il était.
UNE PUISSANCE BÉNÉFIQUE
Les combats de boxe et les compétitions de force ont une dimension unique. Lors de ces événements sportifs, les athlètes s’exécutent individuellement dans le but de démontrer leur force supérieure. C’est comme le bras de fer – on y joue afin de prouver que l’on est la personne la plus forte de l’endroit.
ÉCHANSON DU ROI
Le passage de Néhémie 1 et 2, qui porte sur le travail, compte parmi mes passages bibliques préférés. Néhémie, l’employé du roi Artaxerxes, était un serviteur exemplaire au point que le roi, le voyant triste que Jérusalem soit encore en ruines, a voulu lui rendre honneur en lui venant en aide. Il a demandé à Néhémie : « Pourquoi as-tu mauvais visage ? […] Que demandes-tu ? » (2.2,4.) Ce n’était pas qu’un simple serviteur du roi, c’était son échanson, l’homme qui goûtait aux boissons du roi afin d’éviter que celui-ci se fasse empoisonner. Pour mériter un tel poste, il semblerait qu’il ait travaillé dur et qu’il ait honoré Dieu dans tout ce qu’il faisait. Si bien que le roi lui accordait ses requêtes.
DES RÉFLEXIONS SUR LES FENÊTRES
Une grande partie des paysages que j’ai vus durant nos vacances en Alaska, je les ai vus par les vitres de véhicules en mouvement. J’étais heureuse qu’elles me permettent de voir cette beauté, tout en restant au chaud et au sec. Par contre, ces vitres me posaient également un défi. Lorsqu’il pleuvait, l’eau qui dégoulinait sur elles obscurcissait ma vue. Lorsque la température changeait, la condensation créait de la buée à l’intérieur et obscurcissait la vue également.
PROBLÈMES D’EAU
L’Église jubilait à l’idée de voir s’amorcer les travaux de construction de notre nouveau sanctuaire. Il nous tardait toujours de voir combien le grand trou s’était agrandi dans le sol, mais tout semblait progresser lentement.
À DIEU SOIT LA GLOIRE
Lorsque l’on a demandé à Jason de chanter dans une église où il était de passage, il s’est réjoui de participer même s’il n’avait reçu cette demande que quelques minutes avant le début du service. Il a choisi un cantique bien connu : « À Dieu soit la gloire », car celui-ci était chargé de sens pour lui. Il s’est exercé à le chanter quelques fois dans le sous-sol de l’église et l’a ensuite chanté sans accompagnement durant le service religieux.
L’AMBITION EST-ELLE MAUVAISE ?
L’ambition est-elle mauvaise ? Est-il répréhensible de chercher à exceller et à être le meilleur ? C’est possible. La différence entre la bonne et la mauvaise ambition tient à l’objectif que nous poursuivons et aux motifs qui nous habitent, à savoir si nous recherchons la gloire de Dieu ou la nôtre.
LÂCHEZ PRISE
Il y a longtemps, lorsqu’un jeune ami a demandé à emprunter notre voiture, ma femme et moi avons d’abord hésité. C’était notre voiture. Elle était à nous, et nous dépendions d’elle. Par contre, nous avons vite été convaincus de la partager avec lui parce que nous savions que Dieu voulait que nous prenions soin des autres. Nous lui en avons donc tendu les clefs, et il s’est rendu jusqu’à une église située à 48 km de là pour y diriger un ralliement de jeunesse, dont Christ s’est servi pour amener des adolescents à lui.