MARIÉES À LA ROYAUTÉ
Le livre To Marry an English Lord (Épouser un lord anglais) parle du phénomène ayant amené de riches héritières américaines du xixe siècle à se chercher un mari appartenant à l’aristocratie britannique. Même si elles étaient déjà fortunées, elles aspiraient à faire partie de la royauté. Le livre commence par le prince Albert, fils de la reine Victoria, qui est allé rendre visite à quelqu’un aux États-Unis. Durant son séjour là-bas, un grand nombre de riches héritières se sont présentées à un bal organisé en son honneur dans l’espoir de devenir sa fiancée royale.
DIEU AVAIT D’AUTRES PROJETS
Mon amie Linda a grandi en envisageant de devenir missionnaire. Elle aimait le Seigneur et voulait le servir à titre de médecin en communiquant l’Évangile aux gens malades dans les régions du monde où il est difficile d’obtenir des soins médicaux. Dieu avait toutefois d’autres projets pour elle. Linda est effectivement devenue missionnaire médicale, mais pas de la façon dont elle s’y était attendue.
DURANT TOUTE CETTE HEURE
Beaucoup de gens connaissent le carillon majestueux de la grande horloge du palais de Westminster, que l’on appelle communément Big Ben. En fait, il se peut que certains d’entre nous aient chez eux une horloge ayant un carillon marquant les heures de façon comparable. Selon la tradition, sa mélodie serait tirée du Messie , de Händel. Les paroles inscrites dans la salle du Big Ben ont une signification temporelle :
CONTENU, MAIS PAS ÉTEINT
En juin 2012, l’incendie du canyon Waldo a détruit 346 maisons à Colorado Springs, au Colorado, et a incendié plus de 7300 hectares de forêt en montagne. On a déclaré l’incendie entièrement circoncis lorsque l’on a eu terminé de creuser des tranchées entourant toute la région enflammée. On a confiné l’incendie dans un endroit précis jusqu’à ce qu’on l’ait éteint. Une autorité du service de lutte contre les incendies a averti les résidants qu’ils risquaient de continuer de voir de la fumée s’élever de la région incendiée parce que, même si l’incendie était entièrement contenu, on ne s’en était toujours pas rendus maîtres et on ne l’avait toujours pas éteint.
L’ANCRE DE L’ESPOIR
Frank, Ted et moi pêchions sur le lac Rice en Ontario, au Canada. Nous étions à bord d’un ponton et le poisson mordait allègrement. Affairés à appâter et à hameçonner nos lignes, nous avons lentement pris conscience que l’action s’était relâchée. Puis nous avons compris pourquoi : le bateau ne se trouvait plus là où nous l’avions immobilisé. Un vent fort s’était levé et l’avait poussé de l’autre côté de l’eau. L’ancre, qui ne parvenait pas à nous garder en place, avait traversé le lac en raclant le fond. Nous l’avons remontée, nous sommes retournés à notre endroit de prédilection et nous l’y avons rejetée à l’eau. Nous avons dérivé de nouveau. Après un troisième essai, nous sommes retournés sur la rive. Nous ne parvenions pas à faire tenir notre ancre en place.
LA BIENHEUREUSE ESPÉRANCE
Tant de prédictions par rapport à la fin du monde ne se sont pas accomplies. Ces prédictions sont bouleversantes et remplissent souvent les gens de crainte. Pourtant, la Bible évoque un temps, appelé « le jour du Seigneur », où Christ reviendra. Cela se produira, mais seul Dieu sait quand.
SURMONTER DE MAUVAISES NOUVELLES
Ils sont nombreux à demander : « Qui nous fera voir le bonheur ? » (Ps 4.7.) Cette parole de David semble décrire la perspective pessimiste que l’on adopte si facilement dans le monde d’aujourd’hui. La une des journaux et les grandes histoires sur Internet et à la télévision semblent être centrées sur le crime, les accidents, la politique, l’économie et les gens influents qui agissent mal. Au travail et à la maison, nos conversations se mettent à porter sur diverses difficultés, ce qui suffirait à décourager n’importe qui. Mais vers où nous tourner pour entendre de meilleures nouvelles ?
DE MORNE À MAGNIFIQUE
C’est au printemps que Dieu nous rappelle que les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être. En quelques courtes semaines à peine, ce qui semble désespérément mort revient à la vie. Des boisés mornes se transforment en paysages multicolores. Les arbres qui ont tendu leurs bras nus vers le ciel tout l’hiver, comme pour le supplier de les vêtir, revêtent soudain des robes de dentelle verte. Des fleurs s’étant fanées et courbées jusqu’au sol, capitulant devant le froid, sortent lentement de la terre en défiant la mort.
CAP TRIBULATION
Le 10 juin 1770, le navire de l’explorateur britannique James Cook a heurté un récif non loin de la côte nord-est de l’Australie. Il a alors ramené le navire dans des eaux plus profondes, où il a heurté le récif de nouveau, une collision qui a presque causé un naufrage cette fois-là. Cette expérience a poussé Cook à écrire dans son journal de bord : « On a donné à la pointe nord le nom de Cap Tribulation parce que c’est ici qu’ont commencé tous nos ennuis. »
BIEN FAIT, DAVID SCHUMM !
Aux funérailles de David Schumm, nous avons célébré l’optimisme, la persévérance et la foi d’un homme gravement atteint de paralysie cérébrale. Durant ses 74 années de vie, ses simples tâches quotidiennes ont exigé de grands efforts de sa part. Malgré tout cela, David n’a cessé de sourire et de venir en aide aux autres en donnant plus de 23 000 heures de bénévolat en milieu hospitalier, ainsi qu’en encourageant des adolescents à risque.