De la joie même dans ce qui est vain
En 2010, James Ward, le créateur du blogue « I Like Boring Things » (J’aime les choses ennuyeuses), a lancé une conférence appelée « Boring Conference ». Il s’agit d’une célébration d’une journée de ce qui est banal, ordinaire et négligé. Par le passé, les conférenciers abordaient des sujets insignifiants comme l’éternuement, les bruits que font les distributrices automatiques et…
Les temps difficiles
Lorsque de petites entreprises du Tennessee ont dû fermer pour stopper la propagation du COVID-19, inquiets, leurs propriétaires se demandaient comment aider leurs employés, payer leur loyer et ainsi survivre à la crise. En réponse à leurs inquiétudes, le pasteur d’une église située près de Nashville a lancé une initiative visant à soutenir financièrement les propriétaires d’entreprises en difficulté.
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La joie malgré tout
En 1985, on a accusé Anthony Ray Hinton du meurtre de deux gérants de restaurant.
De la tristesse à la joie
La grossesse de Kelly présentait des complications, et les médecins s’en sont inquiétés. Au cours de son long accouchement, ils ont décidé de l’emmener à toute allure subir une césarienne. Malgré cette épreuve, Kelly a vite oublié ses douleurs lorsqu’elle a tenu son fils nouveau-né dans ses bras.
Quand nous voyons Jésus
L’un de mes cantiques préférés est When we see Christ (Lorsque nous verrons Christ). Le refrain déclare que toutes nos difficultés et nos épreuves en auront valu la peine lorsque nous verrons Jésus face à face. En vue de ce jour, nous pouvons vivre avec courage pour lui aujourd’hui.
L’espoir Nozomi
En 2011, un séisme de magnitude 9 et le tsunami qui en a résulté ont fauché près de 19 000 vies et détruit 230 000 foyers au nord-est de Tokyo. Par la suite, on a mis sur pied le Projet Nozomi, mot japonais qui signifie « espoir », afin de procurer aux sinistrés un moyen de subsistance, une vie communautaire, la dignité et l’espoir en un Dieu généreux.
Blessures profondes, guérison profonde
Une femme et sa fille m’ont approché après que j’ai parlé dans ma prédication de Dieu qui peut transformer notre douleur en quelque chose de bon. La fille, Kate, était trop désemparée pour parler, alors sa mère l’a fait pour elle.
Un coeur joyeux
Un des airs préférés de ma petite‑fille compte parmi les airs militaires de John Philip Sousa, compositeur américain de la fin du XIXe siècle surnommé « le roi des marches militaires ». Moriah ne fait pas partie d’une fanfare, car elle n’est âgée que de 20 mois. Cette musique, dont elle peut même fredonner quelques notes, lui plaît tout simplement. Elle l’associe à des moments joyeux. Lorsque nous nous réunissons en famille, nous fredonnons souvent cette marche en frappant des mains et en faisant d’autres bruits au rythme desquels nos petits‑enfants dansent ou se pavanent en tournant en rond. Tout cela se termine toujours avec des enfants étourdis et beaucoup de rires.
L'art de la joie
Récemment, j’ai téléphoné à un ami qui avait connu énormément d’épreuves et d’abattement. Des gens qui lui sont chers et qu’il aime ont fait des choix qui leur ont causé du tort et lui ont donné des maux de tête. Toutefois, mon ami a répondu au téléphone d’une voix claire.
Rempli de joie
Dans son livre classique Orthodoxie, G. K. Chesterton a écrit : « [Les enfants] veulent que les choses se répètent et ne changent pas. Ils disent toujours : “Fais-le encore !” ; et l’adulte le fait encore, jusqu’à ce qu’il soit presque mort. Car les adultes ne sont pas assez vigoureux pour exulter dans la monotonie. Dieu, lui, est peut-être assez vigoureux pour exulter dans la monotonie. Il est possible que Dieu chaque matin dise au soleil : “Fais-le encore !”, et chaque soir à la lune : “Fais-le encore !” Ce n’est peut-être pas une nécessité automatique qui fait semblables toutes les marguerites ; c’est peut-être que Dieu fait chaque marguerite séparément, sans être jamais fatigué de les faire. »