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UNE JOURNÉE SPÉCIALE

En quoi le 4 septembre est-il particulier ? Peut-être est-ce votre anniversaire de naissance ou de mariage. Cela rendrait cette journée spéciale. Il se peut aussi que vous célébriez des événements historiques propres à cette journée. Par exemple, en 1781, la ville de Los Angeles, en Californie, a été fondée. En 1993, Jim Abbott, un lanceur des Yankees de New York, n’a permis à aucun frappeur de se rendre sur les buts, même s’il est né sans main droite. En 1951, la première émission de télévision à être diffusée en direct d’un océan à l’autre des États-Unis a été mise en ondes à San Francisco.

ENVIRONNÉ DE SA GRÂCE

Il était presque impossible de ne pas voir le panneau géant aux immenses lettres blanches sur fond rouge qui semblait crier : « Cette année, des milliers d’hommes mourront d’entêtement. » J’ai appris par la suite que ce panneau comptait parmi des centaines d’autres similaires ayant pour but de sensibiliser les hommes d’âge moyen, qui négligent en général de subir des tests de dépistage systématique et meurent souvent de causes curables.

UN SIMULATEUR DE VOL

Pour s’entraîner, les pilotes d’avion passent un grand nombre d’heures dans des simulateurs de vol. Ceux-ci permettent aux étudiants de se familiariser avec les défis et les dangers associés au pilotage d’un avion, mais sans en courir les risques. Le pilote n’est pas tenu de quitter le sol et, s’il s’écrase à bord du simulateur, il peut en sortir calmement.

DES DÉTOURS DIVINS

J’ai tendance à m’ancrer dans mes habitudes, si bien que tout ce qui me distrait de ma routine et de mes projets risque de beaucoup me contrarier. Pire encore, les diversions de la vie sont parfois déstabilisantes et douloureuses. Par contre, Dieu, qui a dit : « Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies » (És 55.8), sait qu’il doit souvent nous faire emprunter un détour afin de tirer un meilleur parti de notre vie que si nous nous en tenions à nos projets originaux.

NOUS AVONS BESOIN D’ESPOIR

Adam et Ève n’avaient pas besoin d’avoir de l’espoir puisque tous leurs besoins étaient comblés. Par ailleurs, ils avaient toutes les raisons de croire que leur vie se poursuivrait de manière aussi agréable qu’elle avait commencé, à jouir de toutes les bonnes choses que Dieu leur procurait. Ils ont cependant tout risqué pour obtenir la seule chose dont le serpent a dit que Dieu les privait : la connaissance du bien et du mal (Ge 2.17 ; 3.5). Ainsi, lorsque le serpent est venu leur faire une offre, Ève s’est empressée de l’accepter et Adam de l’imiter (3.6). Ils ont ainsi obtenu ce qu’ils voulaient : la connaissance. Cependant, la perte de leur innocence a entraîné le besoin d’espoir – celui de voir leur culpabilité et leur honte disparaître, ainsi que leur bonne relation avec Dieu être restaurée.

SI LA CRAINTE NOUS GAGNE

Lorsque ma fille s’est exclamée : « Maman, une mouche ! » j’ai regardé dans la direction qu’elle désignait du doigt et j’ai vu la plus grosse araignée que j’aie vue en liberté. Elle et moi savions toutes les deux qu’elle ne serait pas autorisée à rester dans la maison. Et pourtant, l’ayant sous les yeux, je n’ai pu faire un pas de plus vers elle. Mon rythme cardiaque s’est emballé. Après avoir avalé ma salive, j’ai dû me raisonner. Reste que la crainte me paralysait.

LE DÉFI DES RICHESSES

Lorsque ma famille vivait au Kenya, dans les années 1980, nous avons conduit une jeune femme de Nairobi chez ses parents, qui vivaient près de Lake Victoria, pour qu’elle puisse leur rendre visite. En route, nous nous sommes arrêtés dans la ville de Kisumu pour y laisser nos valises dans un hôtel où nous allions séjourner après avoir déposé notre amie chez elle. Lorsqu’elle a vu notre chambre d’hôtel, que nous considérions comme une chambre de grandeur moyenne avec deux lits, elle nous a dit : « Tout cela pour vous cinq seulement ? » Ce que nous jugions ordinaire, elle le jugeait luxueux. Les richesses sont relatives, et certains d’entre nous qui vivons dans des pays prospères avons tendance à nous plaindre d’un niveau de vie que les autres seraient très heureux d’avoir.

PAS ABANDONNÉ

Tandis que Karissa Smith parcourait les rayons d’une bibliothèque municipale avec sa fillette de quatre mois qui ne cessait de babiller, un homme âgé lui a dit méchamment de faire taire son bébé ou c’est lui qui le ferait. Smith lui a répondu : « Je suis désolée de ce qui vous est arrivé dans la vie pour qu’un bébé heureux vous dérange à ce point, mais je ne ferai pas taire mon bébé et je ne vous laisserai pas le faire non plus. » Sur ce, l’homme a baissé la tête et s’est excusé, en lui racontant que son fils était mort du syndrome de mort subite du nourrisson plus de 50 ans auparavant. Il avait réprimé son chagrin et sa colère pendant toutes ces années.

DEVANT LA PEUR

Je n’ai jamais oublié la peur que j’éprouvais durant l’enfance à l’idée que les vêtements jetés sur ma chaise se changent en personnage sombre ressemblant à un dragon après l’extinction des lumières de ma chambre. La première expérience que j’ai faite de l’insomnie due à la peur me rappelle que, lorsque les ennuis surviennent au seuil de la vie, la peur n’est pas notre amie. Elle nous empêche d’aller de l’avant et de faire ce qui est bien – à moins que nous ayons les yeux fixés sur Jésus.

LA ROMANCE

Du temps de la Bible, les veuves vivaient souvent dans la pauvreté. Cela a d’ailleurs été le cas de Ruth et de sa belle-mère, Naomi, après que chacune a perdu son mari. Cependant, Dieu avait un plan pour assurer leur sécurité tout en faisant participer Ruth à part entière à un plan beaucoup plus grand.