LES PIERRES CRIERONT !
Chaque année, il semble que Noël se commercialise de plus en plus. Même parmi les nations où la majorité des gens se disent « chrétiens », il évoque plus les emplettes que l’adoration. Les pressions exercées sur nous pour nous faire acheter des cadeaux et organiser de grandes parties nous donnent de plus en plus de fil à retordre pour rester centrés sur le véritable sens des fêtes : la naissance de Jésus, le Fils unique de Dieu, le Sauveur du monde.
UNE LEÇON DE LOUANGE
Le Psaume 150 n’est pas uniquement une superbe expression de louanges, c’est aussi une leçon enseignant à louer le Seigneur. Il nous révèle où le louer, pourquoi le louer, comment le louer et qui devrait le louer.
L’ESPOIR DANS LA SOUFFRANCE
Lorsque j’ai ouvert ma bible pour en lire les chapitres 1 à 4 du livre de Jérémie, le soustitre m’a touchée presque jusqu’aux larmes : L’espoir dans la souffrance . Ce sujet tombait à point nommé, car je pleurais alors la mort de ma mère.
L’IMAGE FINALE
Ce qui a commencé comme un champ vide de quatre hectares et demi à Belfast, en Irlande du Nord, est devenu le plus grand portrait au sol des îles britanniques. Wish , cette œuvre de Jorge RodriguezGerada, comporte 30 000 chevilles de bois, 2 000 tonnes de terre, 2 000 tonnes de sable et diverses choses comme de l’herbe, des pierres et de la corde.
MOSAÏQUE
Chaque automne, notre ville se change en galerie d’art pendant trois semaines. Près de 2 000 artistes issus des quatre coins du monde y exposent leurs créations dans les galeries, les musées, les hôtels, les parcs, les rues, les parkings, les restaurants, les églises et même sur la rivière.
DES ÉLOGES IMMÉRITÉS
Même avant de pouvoir me permettre un four autonettoyant, je parvenais à garder mon four propre. Des amis m’en ont d’ailleurs fait la remarque lorsque nous les avons reçus à manger. « Ça alors ! Ton four est tellement propre. On dirait qu’il est neuf. » J’ai accepté ce compliment même si je savais ne pas le mériter. La propreté de mon four n’avait rien à voir avec un nettoyage méticuleux de ma part ; il était propre parce que je l’utilisais rarement.
LA LEÇON DU HULA HOOP
Un de mes jouets d’enfance préférés revient actuellement sur le marché : le hula hoop. Mon amie Suzi et moi avons passé des heures devant la maison à perfectionner notre technique et à rivaliser entre nous pour voir laquelle parviendrait à faire tourner le cerceau le plus longtemps autour de sa taille. Or, cette année, j’ai revécu cet épisode de ma vie. Assise dans un parc, j’ai regardé des enfants de tous âges et de toutes tailles faire de leur mieux pour empêcher le hula hoop de tomber au sol. Ils avaient beau se tortiller de toutes leurs forces, les cerceaux aboutissaient toujours à terre. C’est alors qu’une jeune femme a ramassé un cerceau. Sans presque bouger, elle l’a fait tourner docilement en montant jusqu’à ses épaules et en redescendant jusqu’à sa taille, aisément et avec rythme. Sa réussite reposait sur un mouvement stratégique, et non une gestuelle vigoureuse.
LE POUVOIR DU RITUEL
Lorsque j’étais petite, une des règles de la maison consistait à ne jamais aller se coucher en colère (Ép 4.26). Nous devions toujours résoudre d’abord nos querelles et nos désaccords. Or, cette règle s’accompagnait d’un rituel du coucher. Maman et papa nous disaient, à mon frère et à moi : « Bonne nuit ! Je vous aime. » Ce à quoi nous répondions : « Bonne nuit ! Je vous aime aussi. »
CHAQUE ÉPREUVE
Comme c’est le cas de beaucoup d’autres petites villes, Enterprise, Alabama, possède un monument bien en vue. Par contre, cette statue n’est semblable à aucune autre, en ce sens qu’au lieu d’évoquer un citoyen influent, elle célèbre l’œuvre d’un scarabée. Vers le début des années 1900, cet anthonome du cotonnier est parvenu jusque dans le sud des États-Unis en provenance du Mexique. En quelques années à peine, il a détruit des récoltes entières de coton, la première source de revenus du sud. Acculés au désespoir, des fermiers se sont mis à planter autre chose : des cacahuètes. Prenant conscience d’avoir dépendu d’une seule sorte de récolte pendant trop longtemps, ils ont reconnu au scarabée le mérite de les avoir obligés à diversifier leur production, ce qui leur a valu de prospérer davantage.
ÊTRE CONNU
L’opposition entre le désir de nous faire connaître et la crainte de nous faire connaître est à l’origine de l’une de nos plus grandes luttes intérieures. En tant qu’êtres créés à l’image de Dieu, nous sommes destinés à être connus – de Dieu et des autres. Reste qu’en raison de notre nature déchue, nous avons tous des péchés et des faiblesses que nous préférerions que les autres ne sachent pas. Nous employons l’expression « côté sombre » pour désigner des dimensions de notre vie que nous gardons cachées. Nous servons également aux autres des slogans comme « présentez-vous sous votre meilleur jour ».