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Articles by Dave Branon

PRENEZ-LE PERSONNELLEMENT

Lorsque j’étais professeur et entraîneur dans un lycée chrétien, j’aimais vraiment interagir avec les adolescents pour les amener à adopter une vie chargée de sens et semblable à celle de Christ, une vie caractérisée par l’amour de Dieu et l’amour envers les autres. Je m’étais donné pour objectif de les préparer à vivre pour Dieu jusqu’à la fin de leurs jours. Cela n’allait se produire que s’ils faisaient de leur foi un élément primordial de leur vie grâce à l’aide du Saint-Esprit. Ceux qui ne suivaient pas Christ se sont enlisés après s’être soustraits à l’influence de leurs professeurs et parents chrétiens.

POURQUOI DONC L’ATTRISTER ?

Les pasteurs sont la cible facile des critiques. Chaque semaine, ils se présentent devant nous pour nous expliquer soigneusement la Parole de Dieu et nous mettre au défi de vivre en imitant Christ. Or, il arrive parfois que nous leur cherchions des défauts. Pour nous camper dans nos opinions personnelles, il nous est facile de faire fi de toutes les bonnes choses que le pasteur fait.

AVANT ET APRÈS

Quels changements s’opèrent dans la vie de foi d’une personne ayant été durement éprouvée ? J’y ai réfléchi en lisant l’histoire tragique d’un père jamaïcain qui avait accidentellement fait feu sur sa fille de 18 ans et l’avait tuée en tentant de protéger sa famille contre des intrus.

DE QUOI MANGER

Mon amie Marcia, directrice de la Jamaica Christian School for the Deaf, a illustré dernièrement une façon importante de concevoir les choses. Dans un bulletin de nouvelles qu’elle a intitulé « A Blessed Start » (Un début béni), elle faisait remarquer que pour la première fois en sept ans, l’école amorçait la nouvelle année avec un surplus. Quel genre de surplus ? Un solde bancaire de mille dollars ? Non. Suffisamment de fournitures scolaires pour l’année ? Non. Tout simplement ceci : il y avait dans les armoires de quoi manger pendant un mois.

31 JOURS DE GRATITUDE

Selon de nombreux calendriers américains, le mois de janvier est le Mois national de la gratitude. Or, cette réalité est, bien entendu, applicable n’importe où, si bien que l’on devrait peut-être l’appeler le Mois international de la gratitude.

AMOUR ET SOUTIEN

J’ai reçu le mot suivant d’une amie au service de Dieu dans un orphelinat d’un pays en voie de développement : « Hier, assise à mon bureau, j’ai remarqué une file de fourmis au sol. En la suivant, j’ai été choquée de découvrir que des milliers de fourmis avaient entièrement couvert les murs de notre immeuble, à l’intérieur comme à l’extérieur. Heureusement, un des ouvriers… s’est mis au travail. Moins d’une heure plus tard, toutes les fourmis avaient disparu. »

LA LIGUE DE L’INTÉGRITÉ

On l’appelle la Ligue de l’intégrité, mais ce n’est en réalité qu’un groupe de gars qui se réunissent le midi pour jouer au basketball. Nous admettons nos erreurs, nous nous efforçons d’éviter de perdre notre sang-froid et nous tentons simplement de faire en sorte que tout soit juste et agréable. Nous sommes compétitifs et nous n’aimons pas perdre, mais nous sommes tous d’accord pour dire que l’intégrité et l’honnêteté devraient imprégner l’atmosphère.

CE NOM

Notre petite-fille Maggie et sa famille étaient de retour à la maison au Missouri après nous avoir rendu visite à Grand Rapids, Michigan. Sa mère nous a dit que, pendant les quelques jours qui ont suivi leur retour, Maggie s’est promenée dans la maison en s’exclamant joyeusement : « Michigan ! Michigan ! »

DEUX VICTOIRES

Le roi David a dû affronter un adversaire bien connu. Des années auparavant, lorsqu’il était un jeune berger, il s’était mesuré à Goliath, le plus grand guerrier des Philistins, le tuant d’un jet de pierre (1 S 17). David était maintenant roi d’Israël, et voilà que rappliquaient les Philistins ! Sachant qu’on l’avait fait roi, ils ont décidé de lui faire la guerre (2 S 5.17).

Ô JOUR GLORIEUX !

C’était le lendemain. Mon équipe préférée venait de perdre son dernier match et le rêve d’un championnat avait maintenant volé en éclats. J’ai pris le volant pour me rendre au travail, par une journée froide et quelque peu sombre. Rien de tout cela n’aurait dû avoir de réelle importance, mais tout me portait à croire que ce serait un lundi mélancolique.