LES RÈGLES DE MAMAN
J’ai fait la connaissance d’une merveilleuse femme du nom de « Maman Charlie », qui a élevé une douzaine d’enfants en foyer d’accueil. Des tribunaux lui ont confié la garde de ces jeunes, à qui elle a procuré un foyer stable, une direction dans la vie et de l’amour. Elle m’a dit que, chaque fois qu’elle accueillait un enfant sous son toit, la première chose qu’elle faisait consistait à lui expliquer les « règles de Maman ». Celles-ci incluaient des normes comportementales, en plus de corvées destinées à la soulager quelque peu de ses nombreuses tâches ménagères tandis qu’elle enseignait à des jeunes, n’en ayant pas réellement l’habitude, à rendre des comptes.
DES INSTANTS TERRIFIANTS
Lors de la naissance de notre premier enfant, ma femme, Marlene, a passé plus de 30 heures en travail, ce qui lui a occasionné un stress énorme, ainsi qu’au bébé. Le médecin, qui remplaçait son praticien courant, ne connaissait pas bien ni son dossier ni le déroulement de sa grossesse. Résultat : il a trop tardé à effectuer une césarienne d’urgence, causant ainsi un traumatisme à notre fils, qui a dû être hospitalisé à l’unité de soins intensifs néonataux. Or, il n’y avait rien que le personnel hospitalier pouvait faire pour aider notre bébé à surmonter l’état traumatique dans lequel on l’avait plongé.
UNE CRÉATURE SI MERVEILLEUSE
En faisant vérifier ma vue, dernièrement, mon médecin a sorti un appareil que je n’avais jamais vu auparavant. Quand je lui ai demandé à quoi celui-ci servait, il m’a répondu : « Je m’en sers pour prendre une photo du fond de l’œil. »
UN DANGER INVISIBLE
Lorsque j’étais enfant, notre famille a échappé belle à la tragédie. La plupart des grands appareils de la maison, ainsi que la chaudière, étaient alimentés au gaz naturel. Or, une petite fuite dans l’une des conduites de gaz a mis notre vie en danger. Tandis que le gaz se répandait dans notre maisonnette, notre famille a inhalé des vapeurs toxiques et nous avons perdu connaissance. Si un voisin n’était pas venu nous rendre visite par hasard et ne nous avait pas découverts dans cette situation, nous aurions tous pu mourir victimes de ce redoutable ennemi invisible.
LE MONDE DE NOTRE PÈRE
Lorsqu’Amanda Benavides était en deuxième année du premier cycle à l’université Point Loma Nazarene, à San Diego, en Californie, elle a commencé à changer d’avis au sujet du service chrétien ici-bas. Amanda avait grandi en pensant que la protection de l’environnement n’avait rien à voir avec sa relation avec Jésus. Tout cela a cependant changé lorsqu’on l’a mise au défi de reconsidérer le rôle que joue le chrétien dans la protection de la planète, surtout dans le lien entre cette protection et l’évangélisation des plus démunis du monde.
L’ESPOIR EST POUR...
Bien que j’essaie de ne pas m’offusquer de ce que je vois autour de moi de nos jours, le message que j’ai lu sur le t-shirt d’une femme que j’ai croisée dans un centre commercial m’a perturbé. Il y était écrit en caractères gras : « L’espoir est pour les imbéciles. » La naïveté ou la crédulité peuvent certainement être insensées et dangereuses. Les déceptions et les peines peuvent résulter tragiquement d’un optimisme non fondé. Par contre, le fait de s’interdire d’espérer constitue une façon triste et cynique de voir la vie.
DES OS BRISÉS
Il y a longtemps, j’étais gardien de but dans une équipe de foot universitaire. C’était plus amusant que je ne saurais le décrire ici, mais à quel prix ! Un prix que je paie encore aujourd’hui. Être gardien de but appelle à constamment barrer physiquement la route à l’équipe adverse pour l’empêcher de marquer des buts, ce qui implique souvent des blessures. Au cours d’une seule saison, je me suis cassé une jambe, je me suis fêlé plusieurs côtes, je me suis disloqué une épaule et j’ai subi une contusion ! Aujourd’hui, surtout par temps froid, ces os anciennement cassés viennent se rappeler à mon souvenir de manière douloureuse.
D’UNE GÉNÉROSITÉ INOUÏE
Lorsque j’étais pasteur d’une petite église, nous avons affronté une crise énorme. À moins de parvenir à effectuer les grandes rénovations nécessaires pour conformer le bâtiment aux normes de sécurité en vigueur, nous allions perdre notre lieu d’adoration. Une campagne désespérée de financement a permis de payer ces rénovations, mais de tout l’argent recueilli, il y a un don en particulier qui a capté l’attention de nos leaders.
UNE SIMPLICITÉ RAFRAÎCHISSANTE
La simplicité de ma mère compte parmi les choses qui me plaisent le plus en elle. Je lui ai téléphoné maintes fois pour connaître son opinion sur diverses questions, et elle m’a toujours dit : « Ne me demande pas mon opinion à moins de vouloir la connaître. Je ne vais pas chercher à deviner ce que tu voudrais entendre. Je vais te dire exactement ce que je pense. »
RIEN DE SIMPLE
Pour l’anniversaire de notre petit-fils, ma femme a préparé et décoré un énorme biscuit aux pépites de chocolat qu’elle allait servir durant la fête. Elle a sorti son livre de cuisine, a réuni les ingrédients nécessaires et s’est mise à suivre les étapes simples de la recette de son choix. Elle a suivi cette recette des plus faciles et tout a bien fonctionné.