Au cours d’une promenade sur la plage avec ma femme Cari, nous avons engagé une conversation avec un homme âgé qui utilisait un détecteur de métaux. Il nous a expliqué : « Parfois des noms sont gravés sur les bagues, et j’aime beaucoup voir le visage de leurs propriétaires quand je les leur rends. Je mets leur photo sur internet, et je vérifie pour voir si quelqu’un a contacté le ‟service des objets trouvés”. J’ai découvert des bagues perdues depuis des années. » Quand je lui ai mentionné que j’aimais aussi pratiquer cette activité, mais assez rarement, il nous a dit au revoir en disant : « Qui ne tente rien n’a rien ! »

Nous trouvons une autre « recherche et découverte » dans Luc 15. On critiquait Jésus pour s’être intéressé à des gens de mauvaise vie (V. 1,2). En réponse, il raconte trois histoires au sujet de choses égarées puis retrouvées – une brebis, une pièce d’argent et un fils. L’homme qui a retrouvé sa brebis « la met avec joie sur ses épaules, et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit : Réjouissez-vous avec moi » (LU 15.5,6). Toutes ces histoires parlent en définitive de trouver pour Christ des gens perdus, ainsi que de la joie associée.

Jésus est venu « chercher et sauver ce qui était perdu » (19.10), et il nous appelle à le suivre en aimant les gens, pour les ramener à Dieu (voir MT 28.19).