Après avoir cru en Jésus, j’ai annoncé l’Évangile à ma mère. Or, au lieu de croire à son tour, comme je m’y étais attendu, elle a cessé de me parler pendant un an. La mauvaise expérience qu’elle avait vécue au contact de gens qui disaient suivre Jésus l’avait amenée à se méfier des chrétiens. Chaque semaine, je priais pour elle et essayais de rétablir notre relation. Le Saint-Esprit m’a consolée et a continué d’œuvrer dans mon cœur alors que ma mère me boudait. Quand elle a fini par répondre à mes appels, je me suis engagée à l’aimer et à lui présenter la vérité divine chaque fois que j’en avais l’occasion. Presque un an plus tard, elle a reçu Jésus comme son Sauveur.

Les croyants en Jésus ont accès au plus grand des dons faits à l’humanité : Christ. L’apôtre Paul dit que nous devons « [répandre] en tout lieu l’odeur de sa connaissance » (2 CO 2.14), nous qui annonçons l’Évangile comme « le parfum de Christ » pour ceux qui croient en lui, mais comme une odeur de mort pour ceux qui le rejettent (V. 15,16).

Après avoir reçu Christ comme notre Sauveur, nous avons le privilège d’utiliser notre temps limité ici-bas pour répandre sa vérité transformatrice en aimant les autres. Même durant nos moments les plus difficiles et les plus solitaires, nous pouvons compter sur lui pour combler nos besoins. Quoi qu’il nous en coûte, la Bonne Nouvelle mérite toujours d’être annoncée.