« Brille, brille, petite étoile » est une berceuse anglaise. Ses paroles, tirées d’un poème de Jane Taylor, illustrent la splendeur de l’univers que Dieu a créé et dans lequel les étoiles sont suspendues « si haut au‑dessus du monde ». Dans les rares publications des dernières strophes, l’étoile agit comme un guide : « Ce sont ta clarté et ta lueur qui éclairent le voyageur dans le noir. »

Paul exhorte les croyants de Philippes à être « irréprochables et purs » en « [brillant] comme des flambeaux dans le monde » (PH 2.15). Nous nous demandons comment faire pour briller ainsi, car nous nous sentons souvent inadéquats et peu enclins à croire que nos « flambeaux » brillent assez pour améliorer les choses. Cependant, les flambeaux ne tentent pas d’être des flambeaux. Ils le sont tout simplement. La lumière transforme notre monde. Et elle nous transforme, nous aussi. Dieu a fait entrer la lumière physique dans notre monde (GE 1.3) ; et par l’intermédiaire de Jésus, Dieu fait entrer la lumière spirituelle dans notre vie (JN 1.1‑4).

Nous qui avons la lumière de Dieu en nous devons briller de sorte que notre entourage voie cette lumière et soit attiré à sa source. Aussi naturellement qu’un flambeau, notre lumière améliore les choses de par ce qu’elle est : la lumière ! En brillant simplement, nous suivons la directive de Paul, qui est de « [porter] la parole de vie » dans notre monde très ténébreux et d’attirer ainsi les gens à notre source d’espoir : Jésus.