Généralement, nous espérons tous que certaines choses arrivent dans notre vie. Mais, au bout du compte, en quoi espérez-vous réellement ? Paul a dit à Tite d’attendre « la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ » (2.13). Croyez-vous que Jésus reviendra sur terre ? Voulez-vous qu’il revienne ?

Ce n’est pas pour rien que 1 Corinthiens 13.13 joint l’espérance à la foi et à l’amour : « ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour ». Il n’y a pas d’espérance sans foi. L’espérance n’est pas qu’un simple souhait, « espérer » que quelque chose tourne en notre faveur. L’espérance biblique, c’est d’avoir pleinement confiance que les promesses de Dieu se concrétiseront. Nous disons « j’espère que » lorsque nous ne sommes pas certains si les choses tourneront à notre avantage. Dieu nous dit d’avoir « une entière espérance dans la grâce qui [nous] sera apportée, lorsque Jésus-Christ apparaîtra » (1 PI 1.13).

Il n’y a pas d’espérance sans amour. L’espérance ne consiste pas seulement à s’attendre à ce qu’une chose arrive, mais à espérer qu’elle se produise. L’espérance biblique déborde de désir. Ceux qui ont l’espérance, en plus de croire que Dieu tiendra sa promesse, l’attendent avec impatience. Ils désirent plus que tout que Jésus revienne.

Dites-moi en quoi vous espérez, à quoi vous rêvez lorsque vous n’avez pas à penser à quoi que ce soit, et je vous dirai en quoi vous croyez. Dites-moi en quoi vous espérez, et je vous révélerai ce que vous aimez.

Comment pouvons-nous dire si notre espoir se trouve en Jésus ? Nous lui parlerons souvent, simplement pour lui dire que nous attendons son retour. Nous utiliserons les dernières paroles de l’Écriture dans nos prières : « Viens, Seigneur Jésus ! » (AP 22.20.)

Après quoi attendez-vous ? En quoi espérez-vous ?