J’ai ouvert une lettre de notre créancier hypothécaire et, au lieu d’une facture, j’ai trouvé un chèque ! Nous avions amassé un surplus dans notre compte de garantie bloqué, et notre banque nous a envoyé un chèque du même montant. Le mois précédent avait été extrêmement occupé et je n’avais pas été capable d’accepter du travail à la pige lors de ces semaines. Toutefois, nous avons tout fait pour rester fidèle dans nos dons, et maintenant, Dieu pourvoyait. Je tenais un chèque d’une valeur qui dépassait ce que j’avais perdu à cause de mon incapacité à travailler plus d’heures.

Il peut être difficile de discuter de finances et de dons. Jésus nous a enseigné à faire en sorte « que [notre] main gauche ne sache pas ce que fait [notre] droite » (MT 6.3), ce qu’on pourrait interpréter comme voulant dire que les finances sont un sujet tabou pour l’Église. Bien qu’il soit sage de discuter de questions monétaires au bon moment et avec des personnes de confiance, cela n’écarte pas notre besoin d’être enseigné selon la Bible et corrigé au sujet de nos pratiques financières. Considérez comment l’apôtre Paul a rappelé à ses lecteurs que la générosité est une disposition de cœur bien avant d’être liée au portefeuille (2 CO 9.7).

Ceux qui sont véritablement généreux ne donnent pas dans le but de gravir des échelons ou de se faire valoir. En donnant, ils ne tentent pas non plus de répondre aux exigences des autres (V. 7). En fait, ils comprennent que la générosité est une manifestation d’amour. Alors ils donnent pour refléter le cœur de Dieu. L’Écriture affirme que Dieu bénit ceux qui sont généreux (PR 11.25) et qui donnent avec un cœur bien disposé (MA 1.7,8).

Dieu a généreusement déversé ses richesses éternelles sur nous. Puissions-nous, par amour, lui redonner et partager de diverses façons avec un cœur reconnaissant et rempli de joie. « [Car] Dieu aime celui qui donne avec joie » (2 CO 9.7).