Après avoir conduit mes enfants à l’école, je me suis engagée sur une route très fréquentée et j’ai fait jouer de la musique chrétienne. En me remémorant ma longue liste de choses à faire, j’ai commencé à me tracasser et à me sentir surchargée. C’est alors que j’ai vu dans la vitre arrière d’une voiture un autocollant avec « Jésus » inscrit dessus. Au même moment, j’ai entendu le nom « Jésus » dans une chanson qui jouait à la radio. Mon angoisse s’est dissipée en entendant et en voyant « Jésus » simultanément puisque cela m’a mené à réfléchir à la puissance et à l’espoir que porte son nom (MT 28.20).

Pierre et Jean ont guéri un boiteux par la puissance du nom de Jésus (AC 3.6). Lorsqu’ils ont expliqué l’Évangile aux spectateurs étonnés, les chefs religieux sont venus les arrêter. Le lendemain, les disciples ont subi un procès et on leur a demandé : « Par quel pouvoir, ou au nom de qui avez-vous fait cela ? » (4.7.) Guidé par le Saint-Esprit, Pierre a répondu : « C’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts […] que cet homme se présente en pleine santé devant vous » (V. 10).

Étonnés par l’assurance des disciples, les chefs religieux ont défendu à Pierre et à Jean de parler et d’enseigner au nom de Jésus (V. 18). Les deux apôtres ont refusé d’obéir, mais ont fini par être relâchés. Ils se sont rassemblés avec d’autres disciples et ont prié ainsi : « Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d’annoncer ta parole avec une pleine assurance, en étendant ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus » (V. 29,30).

Le nom de Jésus est puissant ; il signifie Sauveur. C’est le seul nom « sous le ciel […] par lequel nous devions être sauvés » (V. 12). Par la foi en son nom, nous pouvons recevoir de l’aide lorsque nous sommes angoissés, malades, oppressés ou épuisés. Par la foi en lui, nous avons « la vie en son nom » (JN 20.31).