Dieu est impuissant ?
Le fils de Rabbi Harold Kushner est mort du syndrome de vieillissement prématuré, une maladie dégénérative. Plus tard, Rabbi a écrit le best‑seller When Bad Things Happen to Good People (Quand le malheur s’abat sur les justes). En tentant de maintenir sa croyance en Dieu, il a dit que soit Dieu n’est pas totalement bon, puisqu’il permet les maladies, soit il n’est pas assez puissant pour l’empêcher d’apparaître. Il a choisi la deuxième option. Selon Kushner, Dieu a créé le monde, mais il ne le contrôle pas pleinement. En d’autres mots, Dieu nous souhaite du bien et sympathise avec nous dans notre douleur, mais il est impuissant devant elle.
COMMENCE PAR MOI
Je les appelle les Notes Mell : de petits mots que ma fille Melissa écrivait dans sa bible pour s’aider à mettre un passage en pratique dans sa vie.
Unité généreuse
Avril 2013 a marqué un anniversaire important pour moi. Pour fêter cela, nous avons fait un long voyage jusqu’à mon lieu de prédilection du temps où j’étudiais à l’université. Les nombreux postes de péage, les vues panoramiques des plages et les excursions en ville ont rendu nos vacances inoubliables. Pour mon mari et moi, le point culminant, et inattendu, a été le fait que nos enfants ont réellement apprécié passer une longue période de temps ensemble.
FOURMIS EN QUÊTE D’UN DOMICILE
Selon des chercheurs de l’Université de Bristol, il se pourrait que la temnothorax rugatulus réussisse mieux que nous dans l’immobilier. Les chercheurs ont découvert que ces fourmis européennes se servaient d’éclaireurs pour vérifier continuellement les conditions de vie de leur colonie. En employant des aptitudes sociales assez complexes pour étonner les scientifiques, ces fourmis travaillent ensemble pour trouver le bon milieu de vie, obscur et sûr, où leur reine et ses larves seront le mieux.
Un berger dans l’ombre
Un jour, une paroissienne grincheuse s’est présentée au bureau d’un prédicateur bien connu. Troublée et effrayée, elle a dit : « Deux hommes me suivent partout où je vais. » Le prédicateur qui connaissait l’imagi-nation débordante de la femme a répondu gentiment : « Oh ! je sais exactement qui sont ces hommes. » « Qui ? » a‑t‑elle demandé. « Ils sont le bonheur et la grâce », a‑t‑il répondu.
UN TEMPS POUR TOUT
Si vous êtes comme moi, vous avez eu du mal à refuser d’endosser de nouvelles responsabilités, surtout s’il s’agit d’une bonne cause qui viendra en aide à des gens. Il se peut que nous ayons de bonnes raisons de choisir avec soin nos priorités. Reste qu’en refusant d’en faire plus, il se peut que nous éprouvions parfois de la culpabilité ou le sentiment que, d’une certaine façon, nous ne sommes pas à la hauteur de notre marche de foi.
Vous êtes ce que vous dites
Il est vrai que « vous êtes ce que vous mangez ». J’ai une marque favorite de céréales sucrées qu’il m’arrive parfois de grignoter, même en sachant qu’une demi‑heure plus tard, je risque de m’effondrer. Il est important d’avoir un bon régime alimentaire parce que, grâce au miracle du métabolisme, notre nourriture devient une partie de nous‑mêmes. Mon corps pourrait bien être composé de 20 % de lait et de sirop de maïs hydrogéné !
ARME FATALE
Le légendaire Muhammad Ali employait plusieurs tactiques de combat, dont la raillerie, dans le ring pour vaincre ses adversaires. Dans son combat contre George Foreman en 1974, Ali l’a raillé ainsi : « Frappe plus fort ! Montre-moi quelque chose, George. Ça fait pas mal. Je pensais que t’étais censé être coriace. » Furibond, Foreman s’est mis à donner furieusement des coups, gaspillant son énergie et affaiblissant son assurance.
Demandez de la sagesse
Après l’université, j’ai oeuvré dans un ministère sportif pendant plusieurs années durant lesquelles je me suis nouée d’amitié avec quelques athlètes professionnels et olympiques. Au cours de la dernière année, j’ai discuté avec ces amis, et ils m’ont tous expliqué qu’après s’être retirés de la compétition, ils avaient eu de la difficulté à savoir quoi faire de leur vie.
DÉCOUVREZ-EN LE PRIX
Nous avons récemment donné une nouvelle paire de bottes à notre fils de 2 ans. Il en était si heureux qu’il ne l’a ôtée qu’à l’heure du coucher. Dès le lendemain, l’ayant toutefois déjà complètement oubliée, il a mis ses vieilles baskets. Mon mari a alors déclaré : « J’aimerais qu’il connaisse le prix des choses. »