Month: février 2015

MIROIR, MIROIR

À quelle fréquence voyez-vous votre reflet dans le miroir ? Selon certaines études, le commun des mortels se regarde dans le miroir de huit à dix fois par jour. Selon d’autres études, il se pourrait qu’il se regarde de soixante à soixante-dix fois par jour, si l’on y ajoute les fois où l’on regarde son reflet dans les vitrines et les écrans de téléphone intelligent.

Un rêve brisé

Dans son livre Me, Myself, & Bob (Moi, moi‑même et Bob), Phil Vischer nous raconte comment il a inventé les personnages populaires des VeggieTales Bob la Tomate et Larry le Concombre. Les vidéos chrétiennes de Phil se sont vendues à des millions d’exemplaires et, du jour au lendemain, il a fait sensation. Mais ce génie créatif n’avait pas le sens des affaires et sa compagnie, ayant contracté trop de dettes, a dû déclarer faillite. Les droits pour Bob, Larry et les autres Veggies ont été vendus à quelqu’un d’autre.

BÂTIR UN PONT

Le livre Colorado Saga de James Michener fait le récit fictif de l’histoire et de la colonisation de l’Ouest américain. Par les yeux d’un commerçant de fourrures canadien-français du nom de Pasquinel, Michener fusionne les histoires des Arapaho des grandes plaines et de la communauté européenne installée à SaintLouis. Tandis que ce rude aventurier parcourt les enclaves grandissantes de la ville et les grands espaces des plaines, il devient un pont entre deux mondes aux antipodes l’un de l’autre.

Des prières puissantes

Au printemps de 2013, les dirigeants d’Églises nord‑coréennes ont sollicité les prières des croyants du monde entier pour leur pays et pour les chrétiens qui y vivent. Ils ont fait cette demande d’intercession en raison des menaces de guerre du gouvernement nord‑coréen, lequel avait mené des exercices militaires qui laissaient présager une guerre. Un des dirigeants d’Église avait déclaré : « Je tiens à remercier nos nombreux frères et soeurs du monde entier pour leur amour et leur soutien continus. Nous savons que notre parcours ne sera pas facile… S’il vous plaît, priez pour nous. »

DOMPTER L’INDOMPTABLE

Des cochons pansus du Vietnam aux renards de Sibérie, les êtres humains ont appris à dompter des animaux sauvages. Des gens se plaisent à apprendre à des singes à « jouer » dans des publicités télévisées ou à des cerfs à leur manger dans la main, comme l’apôtre Jacques le décrit : « Toutes les espèces de bêtes, d’oiseaux, de reptiles et d’animaux marins, sont domptés et ont été domptés par l’homme » (3.7).

Le fruit de la souffrance

Comment allez‑vous maintenant ? m’a demandé mon ami alors que nous marchions. La dernière fois qu’Adrian et moi avons discuté, je lui ai confié que ma femme et moi étions incapables d’avoir des enfants et l’intensité de la douleur que cela nous causait.

AMENEZ-MOI LE GARÇON

Je ne crois pas en Dieu et je n’irai pas », a dit Mark.

Dans notre coeur

Après avoir été témoin de la communion chaleureuse des croyants en Jésus, l’écrivain grec non croyant Lucien (120‑200 apr. J.‑C.) a réagi ainsi : « On ne saurait croire leur empressement en de pareilles occurrences : pour tout dire, en un mot, rien ne leur coûte. Leur premier législateur [Jésus] leur a encore persuadé qu’ils sont tous frères. » Environ à la même époque, Tertullien a affirmé : « Mais c’est surtout cette pratique de la charité qui, aux yeux de quelques‑uns, nous imprime une marque spéciale. " Voyez, dit‑on, comme ils s’aiment les uns les autres, voyez, dit‑on, comme ils sont prêts à mourir les uns pour les autres " »

UNE QUESTION D’AMOUR

Là où l’intellect et les émotions s’entrechoquent, c’est souvent le cœur qui use de la plus grande sagesse » ont écrit les auteurs du livre A General Theory of Love (Une théorie générale de l’amour). Par le passé, disent-ils, les gens croyaient que l’esprit devait dominer sur le cœur, mais la science a maintenant découvert que le contraire est vrai. « Qui nous sommes et qui nous devenons dépendent, en partie, de qui nous aimons. »

Un amour comme ça

À un moment donné, lorsqu’il apprenait à lire, mon fils a réalisé qu’il était capable de déchiffrer les plaques de rue, en particulier les panneaux de limitation de vitesse. Ravi de sa nouvelle compétence, il me criait du siège arrière : « Maman, la limite de vitesse est de 30, c’est 30 ! » Les premières fois que cela est arrivé, c’était mignon. Les quelques fois suivantes, c’était tolérable. Mais chaque annonce subséquente devenait de plus en plus pénible à entendre, même si je savais qu’il n’essayait que de se rendre utile.