Month: août 2014

NAVIGATION SPIRITUELLE

Le livre prisé de Dava Sobel intitulé Longitude décrit un dilemme que les marins d’autrefois devaient affronter. Il leur était toujours possible de calculer leur latitude au nord ou au sud de l’équateur selon la longueur du jour ou la hauteur du soleil. Le calcul de la longitude est ou ouest est resté toutefois compliqué et peu fiable jusqu’à ce que John Harrison, horloger anglais, invente le chronomètre marin. Il s’agissait d’une horloge pouvant indiquer l’heure exacte dans n’importe quel coin reculé du monde depuis le port d’attache, ce qui permettait aux marins de déterminer leur longitude.

PLUS QU’UNE ATTENTE

J’ignore comment les choses se font par chez vous, mais lorsque je dois téléphoner à quelqu’un pour qu’il vienne réparer un de mes appareils, l’entreprise me répond quelque chose comme : « Le réparateur se présentera chez vous entre 13 h et 17 h. » Comme j’ignore quand le réparateur sera là, tout ce que je peux faire, c’est l’attendre.

Sans offense

L’un des messages les plus inspirants du livre The Next Christians de Gabe Lyons est que les chrétiens qui ont le désir sincère de prendre soin des gens blessés ne sont pas « offensés » par leur vie dépravée, leur vie qui est sens dessus dessous après des années de dépendance aux drogues, d’immoralité sexuelle ou de matérialisme avide. Plutôt que de les condamner et de s’éloigner d’eux, Lyons dit que nous devrions aller les rejoindre là où ils sont. Cela implique de leur tendre la main et de leur offrir l’espoir de la guérison en Jésus.

PLUS QU’UNE ATTENTE

J’ignore comment les choses se font par chez vous, mais lorsque je dois téléphoner à quelqu’un pour qu’il vienne réparer un de mes appareils, l’entreprise me répond quelque chose comme : « Le réparateur se présentera chez vous entre 13 h et 17 h. » Comme j’ignore quand le réparateur sera là, tout ce que je peux faire, c’est l’attendre.

AMNÉSIE

Lorsque nous naviguons en eaux troubles, il nous arrive parfois de sombrer dans une amnésie spirituelle et d’oublier la grâce de Dieu. Par contre, un bon moyen de retrouver notre gratitude consiste à mettre de côté des moments sans distraction pour nous rappeler intentionnellement la générosité dont Dieu a fait preuve envers nous par le passé et l’en remercier.

Une leçon d'humilité

Je sais que tu as fait de ton mieux, mais ce n’est pas assez. Lorsqu’une personne prononce de telles paroles désobligeantes à votre égard, vous vous dites sûrement : « Voyons donc ! J’ai fait du mieux que j’ai pu ! Ça vaut bien quelque chose ! »

AMNÉSIE

Lorsque nous naviguons en eaux troubles, il nous arrive parfois de sombrer dans une amnésie spirituelle et d’oublier la grâce de Dieu. Par contre, un bon moyen de retrouver notre gratitude consiste à mettre de côté des moments sans distraction pour nous rappeler intentionnellement la générosité dont Dieu a fait preuve envers nous par le passé et l’en remercier.

GARDER LES TÉNÈBRES LOIN

Dans le livre de J. R. R. Tolkien intitulé Le Hobbit , le magicien Gandalf explique pourquoi il a choisi de donner un petit hobbit comme Bilbo pour combattre l’ennemi au côté des nains. Il dit : « Saruman croit que seule une grande puissance peut dominer le mal, mais ce n’est pas ce que j’ai pu constater. J’ai pu voir que ce sont les petits gestes quotidiens des gens ordinaires qui gardent les ténèbres à distance. De petits gestes de bonté et d’amour » ( Traduction libre ).

Des supplications effrénées

Ce devait être un simple aller-retour au magasin, je n’avais besoin que de savon à lessive. C’est alors que ma fille a repéré les jouets en solde. Elle a supplié : « Est-ce qu’on peut regarder les jouets ? » J’ai répondu : « Peut-être. » Alors, elle s’est servi d’une tactique de négociation populaire chez les enfants : la supplication effrénée. « Maman, s’il te plaîîîîîîîîîîîîît ! » Elle a continué jusqu’à ce qu’on ait des poupées et des livres jusqu’au cou.

GARDER LES TÉNÈBRES LOIN

Dans le livre de J. R. R. Tolkien intitulé Le Hobbit, le magicien Gandalf explique pourquoi il a choisi de donner un petit hobbit comme Bilbo pour combattre l’ennemi au côté des nains. Il dit : « Saruman croit que seule une grande puissance peut dominer le mal, mais ce n’est pas ce que j’ai pu constater. J’ai pu voir que ce sont les petits gestes quotidiens des gens ordinaires qui gardent les ténèbres à distance. De petits gestes de bonté et d’amour » (Traduction libre).