DES OFFRES FANTASTIQUES
Je m’étonne des offres incroyables qui inondent chaque jour ma boîte de réception de courriels. Dernièrement, j’ai additionné les offres d’argent gratuites qui m’ont été faites en une semaine, et mon « dû » totalisait 26 millions de dollars. Cependant, chacune de ces offres était frauduleuse. Chacune d’elles – allant d’un prix d’un million de dollars à une offre de sept millions de dollars – n’était rien d’autre qu’un mensonge que des gens sans scrupules me communiquaient afin de m’extorquer de l’argent.
SURMONTER DE MAUVAISES NOUVELLES
Ils sont nombreux à demander : « Qui nous fera voir le bonheur ? » (Ps 4.7.) Cette parole de David semble décrire la perspective pessimiste que l’on adopte si facilement dans le monde d’aujourd’hui. La une des journaux et les grandes histoires sur Internet et à la télévision semblent être centrées sur le crime, les accidents, la politique, l’économie et les gens influents qui agissent mal. Au travail et à la maison, nos conversations se mettent à porter sur diverses difficultés, ce qui suffirait à décourager n’importe qui. Mais vers où nous tourner pour entendre de meilleures nouvelles ?
DES INSTANTS TERRIFIANTS
Lors de la naissance de notre premier enfant, ma femme, Marlene, a passé plus de 30 heures en travail, ce qui lui a occasionné un stress énorme, ainsi qu’au bébé. Le médecin, qui remplaçait son praticien courant, ne connaissait pas bien ni son dossier ni le déroulement de sa grossesse. Résultat : il a trop tardé à effectuer une césarienne d’urgence, causant ainsi un traumatisme à notre fils, qui a dû être hospitalisé à l’unité de soins intensifs néonataux. Or, il n’y avait rien que le personnel hospitalier pouvait faire pour aider notre bébé à surmonter l’état traumatique dans lequel on l’avait plongé.
IL VOUS APPELLE
Quelques collègues et moi venions de passer la sûreté aéroportuaire et marchions vers notre porte d’embarquement lorsque j’ai entendu : « Anne Cetas demandée. Anne Cetas demandée. » Comme mon nom n’est pas courant, nous savions qu’il s’agissait bien de moi. J’ai présumé avoir laissé quelque chose derrière par mégarde. Je me suis donc informée auprès d’un agent de ligne aérienne, qui m’a demandé de décrocher un téléphone rouge, de me nommer et de demander pourquoi on me faisait appeler. M’étant exécutée, le standardiste m’a dit : « Non, nous ne vous avons pas fait appeler. » Je lui ai répondu : « C’était pourtant mon nom. » Puis, il m’a affirmé deux fois : « Non, nous ne vous avons pas fait appeler. » Je n’ai d’ailleurs jamais découvert pourquoi on m’avait fait appeler ce jour-là.
LA MEILLEURE SAISON JUSQU’ICI
La vie ressemble beaucoup au temps qu’il fait, en ce sens qu’elle est saisonnière. Elle a sa façon de nous faire passer, bon gré mal gré, à la saison suivante. Ce passage, nous le vivons souvent avec incertitude et même avec crainte par rapport à ce que la prochaine saison nous réserve.
DIFFICILES À AIMER
Il y a plusieurs années, j’ai servi de conseiller de colonie de vacances à des garçons rebelles. J’ai eu du mal à composer avec leur comportement. Ils maltraitaient les animaux à la ferme pédagogique et se battaient entre eux à l’occasion. Pour les diriger, j’ai donc adopté une approche empreinte de calme et de fermeté. Or, même s’ils m’ont souvent exaspéré, j’ai toujours veillé à répondre à leurs besoins physiques.
FIDÈLE JUSQU’À LA FIN
Après avoir couru les premiers 32 km (20 milles) du Salomon Kielder Marathon en Grande-Bretagne, un marathonien a quitté la course et s’est rendu en autobus jusqu’à un boisé situé près du fil d’arrivée. Puis, il est entré de nouveau dans la course et a réclamé le troisième prix. Lorsque les officiels l’ont questionné, il a déclaré avoir cessé de courir parce qu’il se sentait fatigué.
MAINTENANT, JE VOIS
Deborah Kendrick aime assister à des comédies musicales de Broadway même si elle est aveugle et a toujours du mal à en comprendre la mise en scène et les mouvements des personnages. Dernièrement, elle a toutefois assisté à une pièce employant le D-Scriptive, une nouvelle technologie transmettant les éléments visuels de la mise en scène au moyen d’un petit récepteur FM. Une narration enregistrée, adaptée à une carte sonore et à un tableau lumineux, décrit la scène et l’action tandis qu’elles se déroulent. Dans The Columbus Dispatch , Deborah a écrit : « Demandez-moi si j’ai vu une production à New York la semaine dernière, et je vous répondrai que oui… j’ai véritablement et incontestablement vu le spectacle. »
UNE POUSSIÈRE ARTISTIQUE
En choisissant d’utiliser de la poussière pour créer Adam (Ge 2.7), Dieu n’a pas eu à craindre de manquer de matière première. Selon Hannah Holmes, auteur de La Vie secrète de la poussière , entre un et trois milliards de tonnes de poussière du désert circuleraient dans l’air au cours d’une année. Or, un milliard de tonnes rempliraient quatorze millions de wagons couverts formant un train assez long pour faire six fois le tour de l’équateur.
UN À UN
Edward Payson était jadis un prédicateur célèbre. Un certain dimanche orageux, son auditoire ne s’est toutefois constitué que d’une seule personne. Quelques mois plus tard, cet homme lui a rendu visite et lui a dit : « J’ai été conduit au Seigneur durant ce service-là. Chaque fois que vous parliez du péché et du salut, je regardais autour de moi pour voir à qui vous faisiez allusion, mais comme j’étais seul, je n’avais d’autre choix que d’accueillir chaque parole dans mon cœur et ma conscience ! »