Bonne année ! En songeant à ce que la nouvelle année est susceptible de nous apporter, je ne peux m’empêcher de me demander si 2012 marquera le retour de Jésus. Puis je me demande si je suis prêt.

Toute ma vie, j’ai dû « être prêt ». Enfant, je devais me préparer à m’attabler en me lavant les mains. Adulte, je dois continuer de me tenir prêt à assumer d’importantes responsabilités. Par contre, j’en suis venu à réaliser que rien ne compte plus que d’être prêt pour nos retrouvailles célestes avec Jésus.

En parlant du retour de Christ, Jean nous dit : « Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur » (1 Jn 3.3). Le fait de se réjouir à l’avance du retour de Jésus nous remplit d’espoir – ce qui n’a rien à voir avec des illusions et tout à voir avec une attente ferme nous motivant à éviter les distractions impies et à fixer notre attention sur la nécessité de lui ressembler davantage. Si nous croyons sincèrement que l’année qui vient de s’amorcer pourrait être celle de son retour, nous serons plus enclins à pardonner, à rechercher le pardon et à communiquer l’amour inconditionnel de Dieu aux autres.

Tandis que nous considérons la possibilité que Jésus puisse revenir cette année, assurons-nous d’être prêts. Aspirons à être purs comme il est pur, en anticipant le jour où les larmes, la tristesse, la souffrance et la mort feront toutes place à la joie éternelle de sa présence.