UN ESPRIT RÉCEPTIF
Juste avant que notre service religieux commence, j’ai entendu derrière moi un jeune homme qui parlait avec sa mère. Ils lisaient une annonce dans le bulletin au sujet d’un défi que l’on y lançait, celui de lire un chapitre des Proverbes chaque jour pendant les mois de juillet et d’août. Il a demandé à sa mère : « Qu’allons-nous faire du chapitre 31 au mois d’août, puisqu’il n’a que 30 jours ? » Elle lui a dit qu’elle croyait qu’il y avait 31 jours en août. Il lui a répondu : « Non, il n’y en a que 30. »
CHRIST VIVANT EN NOUS
Le triathlon Ironman consiste enune nage de 3,9 km, une course à vélo de 180,2 km et une course à pied de 42,2 km. Il s’agit d’un exploit difficile à réaliser pour n’importe qui. Par contre, Dick Hoyt a participé à la course et l’a achevée avec son fils Rick, atteint d’une déficience physique. À la nage, Dick tirait Rick dans une petite embarcation. À vélo, Dick a transporté Rick dans une voiturette attachée au vélo. À la course, Dick a poussé Rick dans son fauteuil roulant. Rick a dépendu de son père pour atteindre le fil d’arrivée. Il n’y serait pas parvenu sans son père.
UNE QUESTION DE PERSPECTIVE
Faites-vous partie du problème ou de la solution ? Que cette question soit posée durant une réunion d’affaires, une assemblée d’Église ou une discussion en famille, elle découle souvent d’une tentative pour comprendre comment une personne a agi comme elle l’a fait. La plupart du temps, la réponse est une question de perspective.
L’ERREUR DE NE PAS DISCIPLINER
Nous vivons dans les bois, si bien que nous avons très peu de lumière naturelle prolongée durant l’été. Cependant, comme nous aimons beaucoup les tomates fraîches, j’ai décidé d’essayer d’en faire pousser dans des pots que j’ai disposés dans quelques endroits ensoleillés.
UNE PROPOSITION MODESTE
Quand j’étudiais à l’université, j’ai entendu d’innombrables histoires de fiançailles. Les yeux pétillants, mes amis me parlaient de restaurants fastueux, de couchers du soleil vus du sommet d’une montagne et de promenades en calèche. Je me rappelle également l’histoire d’un jeune homme qui avait simplement lavé les pieds de sa petite amie. Sa « modeste proposition » de mariage prouve qu’il comprenait que l’humilité est essentielle à tout engagement à long terme.
LA BONTÉ DU SEIGNEUR
Il y a quelques années, je suis tombé sur un court essai de Sir James Barrie, un baron anglais. Dans cet essai, il brosse un portrait intime de sa mère, qui aimait profondément Dieu et sa Parole, et qui a lu sa bible au point de l’user littéralement jusqu’à la corde. « Elle est à moi, maintenant, écrit Sir James, et les fils noirs avec lesquels ma mère l’a recousue font partie de son contenu. »
AMENEZ-EN !
Une émission de la chaîne de télévision History portait sur les aéroports du monde les plus dangereux. Celui qui a retenu mon attention, et où j’avais déjà atterri, est maintenant fermé. Je suis d’accord pour dire que l’aéroport de Kai Tak, à Hong Kong, était certainement toute une aventure pour les passagers et assurément un défi pour les pilotes. Si l’on arrivait d’une certaine direction, on devait survoler des gratte-ciel, puis espérer que l’avion s’arrêterait avant de plonger dans la mer. Si l’on arrivait de l’autre direction, on avait l’impression d’être sur le point de percuter une montagne.
DES OISEAUX, DES LIS ET MOI
Dans les épisodes d’une vieille émission de télévision, un lieutenant de police chevronné disait toujours à ses jeunes policiers qui sortaient dans les rues au début de leur journée de travail : « Soyez prudents dehors ! » C’était à la fois un bon conseil et une parole de compassion, car il savait ce qui pouvait leur arriver dans l’exercice de leurs fonctions.
DE JOYEUSES RETROUVAILLES
Il y a quelques années, lorsque mes enfants étaient encore petits, je suis rentré à la maison en avion après une mission de 10 jours. À l’époque, les gens étaient autorisés à pénétrer dans l’aire d’embarquement pour accueillir les passagers à leur arrivée. À l’atterrissage, je suis sorti de la passerelle de l’avion et mes tout-petits m’ont accueilli – tellement heureux de me voir qu’ils criaient et pleuraient. J’ai regardé ma femme, qui avait les yeux larmoyants. J’en étais muet. Des étrangers dans l’aire d’embarquement avaient eux aussi les larmes aux yeux de voir mes enfants m’étreindre les jambes et m’accueillir en pleurant. Quels instants merveilleux !
CONSIDÉREZ VOS VOIES
Un Autrichien de 47 ans a donné toute sa fortune de 4,7 millions de dollars après en être venu à la conclusion que sa richesse et ses dépenses inconsidérées l’empêchaient de connaître la vraie vie et le bonheur. Karl Rabeder a dit au Daily Telegraph (Londres) : « J’avais le sentiment de travailler comme un esclave pour acquérir des choses que je ne voulais pas avoir et dont je n’avais pas besoin. J’ai vécu le plus grand choc de ma vie en réalisant combien le style de vie “cinq étoiles” est horrible, inhumain et dépourvu de sentiments. » Son argent sert maintenant à financer des oeuvres de bienfaisance qu’il crée afin d’aider des gens en Amérique latine.