Durant une tournée d’enseignement en dehors des États-Unis, ma femme et moi avons essuyé un refus d’entrer dans notre pays de destination en raison d’un problème de visas. Bien que nous ayons cru que nos visas avaient été correctement délivrés par le pays où nous projetions de nous rendre, on les y a jugés invalides. Malgré les efforts de plusieurs autorités gouvernementales, rien n’a pu être fait. On nous interdisait l’entrée dans le pays. On nous a donc renvoyés aux États-Unis par le vol suivant. Aucune intervention n’a pu changer quoi que ce soit au fait que nous n’avions pas la bonne autorisation pour entrer dans le pays étranger en question.
Cette expérience de visa s’est révélée être un inconvénient, mais elle ne saurait se comparer à l’ultime interdiction d’entrée. Je parle ici de ceux qui se tiendront devant Dieu sans la bonne autorisation d’entrer au ciel. Et s’ils présentaient le dossier de leurs efforts religieux et de leurs bonnes
oeuvres ? Cela ne suffirait pas. Et s’ils évoquaient leurs belles qualités ? Cela ne leur servirait à rien. Une seule chose peut leur ouvrir les portes du ciel. Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jn 14.6).
Seul Christ, par sa mort et sa résurrection, a payé le prix de nos péchés. Et il est le seul à pouvoir nous donner l’autorisation d’accéder auprès du Père. Avez-vous mis votre foi en Jésus ? Veillez à avoir l’autorisation nécessaire pour entrer au ciel.